jeudi 22 mars 2018

RETRAITES


Ce n'est pas nouveau, mais c'est toujours une HONTE que nos gouvernements anciens et nouveaux, ne prennent pas de mesures draconiennes pour que nos retraités profitent de l'argent de nos caisses de retraite. Arrêtons de distribuer l'argent qui nous revient de droit.
Que l'état algérien rembourse déjà ce qu'il doit à notre sécurité sociale pour maintenir en vie  leur momie de soit disant président.
Mais c'est une utopie, car aucun pas même le nouveau, chef de l'état n'aura ce courage. Il vaut mieux augmenter les impots des Français, actifs et retraités, 
Les expatriés Français en Australie doivent se rendre une à deux fois par an au Consulat pour se faire établir un certificat attestant que le retraité est bien en vie !
Seulement voilà, dur dur de demander cette contrainte à l'Algérie (ce serait peut-être
considéré comme un acte islamophobe ???


ELLE N’EST PAS BELLE CELLE-LÀ.....!!!!!


Il est plus facile de prendre l’argent sur la retraite des Français que d’aller récupérer 1.000.0000.000 EUR (Oui ! Un milliard d’euros) en Algérie …
La cour des comptes s’intéresse enfin aux "retraités" algériens .....
C’est l’intéressante découverte ( !) faite par la Cour des Comptes qui, en épluchant les comptes de la CNAV (caisse nationale d’assurances vieillesse), l’organisme qui paye les retraites a constaté que : le nombre de retraités centenaires algériens (plus de 50.000) était particulièrement important.
Ce nombre est même très supérieur au total des centenaires recensés par l’état-civil en Algérie.
Rolande Ruellan, présidente de la 6e chambre de la Cour des Comptes qui a présenté le 9 juillet dernier un rapport sur la fraude sociale devant une commission parlementaire reconnaît le problème (document que chacun peut consulter pour vérifier cette info) :
« Il y a des retraités qui ne meurent plus dans les pays étrangers » dit-elle, insistant, en particulier, sur le nombre de retraités centenaires algériens.
Pourquoi ? Comment ? C’est ce qu’a tenté de savoir la commission.
Il suffit de ne pas déclarer à la caisse de retraite le décès de l’ayant droit précise la magistrate.
Mais il n’y a pas de contrôle ? s’étonne un membre de la commission.
En Algérie nous n’en avons pas les moyens. Il faudrait mettre des contrôleurs itinérants dans tous les pays.
Ce n’est pas évident ! souligne-t-elle.
En résumé : Les algériens binationaux, ayant travaillé en France deviennent immortels à partir du moment où ils se retirent en Algérie pour leur retraite.
Ce sont leurs enfants, voire leurs petits-enfants, qui continuent à percevoir la pension de retraite, bien après leur décès.
Et il ne faut évidemment pas compter sur les autorités algériennes pour faire la chasse aux fraudeurs.
On peut s’étonner, tout de même, qu’un organisme comme la CNAV qui verse chaque année 4 milliards d’eurosde retraiteà l’étranger, dontplus d'1 milliard d'euros pour l’Algérie, ne soit pas en mesure d’effectuer un minimum de vérifications : Soit en demandant, tous les deux ans par exemple, aux bénéficiaires de donner une preuve de leur existence, soit en les invitantà se présenter dans les consulats de France pour percevoir leurs pensions.  
Alors que le dossier des retraites est au cœur des préoccupations des Français, il est impensable que nos gouvernants ne se penchent pas sur cette question connue d’eux depuis longtemps.
Sinon, ce «racisme antifrançais», finira par contrarier très fortement le plus borné des retraités mais aussi tous ceux qui cotisent pour une lointaine retraite hypothétique


   Information à diffuser au plus grand nombre

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