Symbole insubmersible plus que membre du
gouvernement, plus dangereuse dehors que dedans, comme le pensent ses
« amis » depuis 2012, Mme Taubira a aligné des bourdes auxquelles nul
autre n’aurait résisté.
Christiane Taubira, péremptoire, arrogante,
outrecuidante,
Aurait dû, depuis longtemps, tomber d’un piédestal usurpé et
quitter un ministère qu’elle occupe à contre-emploi.
À la tête d’un ministère
qui manque de moyens, dont les rouages jouissent d’une autonomie qui entrave la
mise en place d’une politique volontaire et cohérente, elle a imposé avec un
rare entêtement une ligne idéologique qui accentue les dérives
Un contresens
évident !
Symbole insubmersible plus que membre du
gouvernement, plus dangereuse dehors que dedans, comme le pensent ses
« amis » depuis 2002, Mme Taubira a aligné des bourdes auxquelles nul
autre n’aurait résisté. Par son sexe et son origine, mais surtout pasionaria de
la cause « gay », ce qui délivre un sauf-conduit auprès des médias,
elle survit à un mensonge en direct lorsqu’elle brandit devant les caméras, en
mars 2014, un document qui l’informait d’écoutes téléphoniques, en proclamant
que rien de tel n’a jamais existé.
Elle peut impunément, en juillet 2015,
exprimer son intention de réduire la peine pour conduite sans permis à une
simple amende alors que la mortalité routière s’accroît.
Elle peut enfin, le 6
octobre, lancer cette idée folle de faire accompagner par une escorte policière
les permissions de sortie des condamnés.
C’était là sa réponse à la bavure
judiciaire gravissime qui avait conduit à ce qu’un récidiviste, Wilston Blam,
condamné, après 27 antécédents, à la prison jusqu’en 2018, fiché
« S » en raison de ses contacts en prison avec des islamistes, ait
une permission de sortie, ne rentre pas, braque un dépôt de bijouterie et fasse
feu sur un policier !
On perçoit la constante idéologique.
La police
n’est qu’un outil, corvéable à merci.
Le citoyen honnête est dénué d’intérêt
Seul compte le délinquant à qui il faut éviter la prison, qu’il faut libérer au
plus vite, à la réinsertion duquel il faut consacrer le maximum de moyens.
Cet
aveuglement ignore la finalité de la justice, méprise la police, affaiblit la
cité sans responsabiliser ses membres
La justice pénale n’a pas pour but de
réinsérer les délinquants
Son but est de les empêcher de nuire afin d’assurer
l’ordre public et la sécurité des personnes et des biens.
La police et la gendarmerie ne doivent pas être
inutilement utilisées ni encore moins exposées.
Les agressions contre les
forces de l’ordre sont devenues banales alors même qu’elles évitent de faire
usage de leurs armes en raison des risques de suites judiciaires.
C'est le
monde à l’envers ! En 2014, les violences dans notre pays ont augmenté de
8,6 %. Devant cette régression, la réponse doit être ferme.
La
responsabilité des acteurs doit être clairement engagée.
Si la réinsertion
évite la récidive, il faut s’en réjouir, mais l’incarcération l’exclut
davantage encore jusqu’à son terme, si la durée de la peine est respectée et si
la longueur de la détention est à la mesure du délit ou du crime.
Le meilleur
vecteur de l’insertion demeure le travail, qui devrait être obligatoire comme
substitut à l’enfermement, pour les petits délits sans récidive, et tout aussi
obligatoire en détention pour subvenir au coût de l’hébergement, voire pour
indemniser les victimes.
L’absence de véritable sanction contre les
récidivistes est, en revanche, un appel au crime.
Source : Bld Voltaire
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