Par le laxisme judiciaire qu'elle développe, les citoyens ne sont plus en sécurité.
Madame Taubira met-elle en danger la vie d’autrui ?
La question peut
se poser, ainsi qu’un appel à la démission, puisque, par le laxisme judiciaire
qu’elle développe, les citoyens ne sont plus en sécurité.
Comment un détenu de 24 ans, connu pour une trentaine d’antécédents
judiciaires, ayant fait l’objet d’une fiche de signalement, a pu bénéficier
d’une permission de sortie au mois de mai, sans garantie de retour, et n’est
jamais revenu à la prison de Réau ?
Comment un homme avec ce profil a-t-il pu bénéficier d’un aménagement de
peine ?
Comment un détenu a-t-il pu également se radicaliser en prison et être
autorisé à en sortir ?
Comment cet individu, au profil dangereux, a-t-il pu rester en liberté
plusieurs mois et commettre un braquage ?
La réforme pénale du garde des Sceaux est irresponsable.
Sa politique met
en danger nos policiers et nos concitoyens.
Un policier est dans un état
désespéré à cause de ce laxisme judiciaire, c’est inadmissible.
Il s’agit, de
la part du ministre de la Justice, de manquements graves au respect et à la
sécurité de notre République.
Cette situation évitable est intolérable, notamment pour ceux qui
garantissent notre sécurité au quotidien mais qui ne savent plus comment se
révolter face à une telle permissivité judiciaire.
Les syndicats dénoncent un
angélisme pénal face à une délinquance de plus en plus importante, notamment la
délinquance liée à la radicalisation religieuse.
Au lieu de vouloir libérer les prisons et aménager des peines aux
délinquants et individus dangereux ou radicaux pour la société, les forces de
l’ordre et la justice doivent disposer de moyens supplémentaires pour lutter
contre l’insécurité et garantir une cohésion sociale et républicaine au sein de
notre pays.
Pour madame Taubira, l’esprit Charlie n’existe pas, sa
complaisance si. Mais saura-t-elle s’en expliquer et prendre les décisions qui
s’imposent face à de tels faits ? Ou doit-on vivre encore d’autres drames
comme celui-ci pour qu’elle prenne la mesure de ses actes ?
Ludovic
Demathieu via Bld Voltaire
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