lundi 14 septembre 2015

DANGER POUR LES HABITANTS.



Ces 600 maires qui mettent en danger leurs administrés

Par    -Riposte Laïque

HIDALGO -AUBRY


Il y a un mois, il y avait encore dans notre pays 56% de salauds opposés à l’accueil de migrants. D’ignobles racistes, égoïstes, xénophobes, totalement dépourvus d’humanité. La honte de la France en quelque sorte.

Mais l’émotion de ces derniers jours, savamment entretenue par nos inconditionnels de l’immigration, a fait basculer l’opinion en faveur des malheureux migrants.
Il n’y a plus que 47% de salauds en France, pour s’opposer à l’accueil de réfugiés, ce qui bien entendu est encore beaucoup trop pour nos élites bien pensantes, qui ont fait de la préférence étrangère leur credo permanent, ne souffrant aucune contestation.
Peu importe l’échec flagrant de l’intégration. Peu importe que la délinquance d’origine immigrée ou étrangère soit en constante augmentation, comme le souligne l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales. Peu importe que les deux tiers des détenus soient musulmans, comme l’a rappelé Jack Lang, président de l’Institut du monde arabe. Peu importe que 30% des homicides commis à Paris soient le fait d’individus de nationalité étrangère. Peu importe le rapport du Service d’information, de renseignement et d’analyses stratégiques sur la criminalité organisée, qui note que l’utilisation abusive du statut de demandeur d’asile a “incontestablement joué un rôle facilitateur dans l’essor de la criminalité organisée”. Peu importe l’explosion du chômage et des déficits. Peu importe la précarité des 112000 SDF vivant déjà en France.

Il faut ouvrir les vannes et applaudir Angela Merkel. 
En 48 heures, celle qu’on surnommait “le Bismarck en jupons” dans le dossier grec, est devenue la nouvelle idole de toute la gauche française.
Et tout contestataire a aussitôt droit à un pilonnage intensif de l’artillerie médiatique bien pensante, pour le culpabiliser et le reléguer définitivement dans le camp des salauds.
Les Hongrois, mais aussi Marine Le Pen, en savent quelque chose….

Alors, puisque nos apôtres du politiquement correct refusent tout débat sur la question, laissons parler ceux qui connaissent parfaitement la musique et les bienfaits que leur apporte la déferlante de gentils migrants, que ce soit en Hongrie, en Italie ou en Grèce

Je cite :
En Hongrie, à la frontière serbe, les désagréments signalés par les administrés sont légion, “résidences secondaires vandalisées, cultures piétinées, détritus jonchant le sol, barrières démantelées pour faire du feu…” dénonce un maire.
“ La nuit, ils sonnent chez les gens pour demander leur chemin, à boire ou à charger leur portable”, nous dit une secrétaire générale de mairie. “Les parents n’osent plus laisser leurs enfants aller seuls jusqu’à l’arrêt du bus scolaire”.
“Les migrants sont de plus en plus violents, ils trouvent qu’on ne s’occupe pas d’eux assez vite et assez bien.
Le propriétaire de la station-service, où les passeurs se donnent rendez-vous le soir, vient de demander une protection policière…sauf que les policiers ne veulent pas y aller : ils ont peur d’être égorgés” ! “On offre des bouteilles d’eau et de la nourriture aux migrants, ils les jettent et les piétinent”.

Les habitants se barricadent. “Notre perception des choses a changé, résume une vendeuse de supérette.

Avant, on voyait des familles en souffrance, et on avait pitié. Désormais, on ne voit qu’une immense foule de plus en plus agressive, déferlant sur nos campagnes. Et on a peur”.

Une retraitée, les larmes aux yeux dit : “Je ne reconnais plus mon village, tout est si sale après leur passage. Je n’ose plus sortir de chez moi le soir”.

Un autre maire déclare : “C’est vingt ans de travail qui ont été détruits en quelques mois”.

“Dimanche dernier…. en l’espace de deux heures, 350 étrangers se sont installés avec des tentes dans le parc juste devant un hôtel 4 étoiles. Vous auriez vu la tête des touristes. Nous sommes au bord du burn-out. Dois-je continuer à être humain avec les migrants ou bien dois-je veiller aux intérêts de mes administrés” ?
Il y a aussi la peur du terrorisme. 
La presse a publié des photos de combattants islamistes déguisés en réfugiés. Et un policier d’ajouter : “Vous croyez qu’on ne voit passer que des pauvres Syriens ? Ni pauvres, ni Syriens. Depuis que Merkel a dit qu’elle accueillait les Syriens, ils sont tous Syriens, même les Noirs” !
Pour Viktor Orban, “Ces gens là ne fuient pas vers la sécurité. Parce que ceux qui ont atteint la Turquie, la Grèce ou la Macédoine sont déjà en sécurité. Ils veulent simplement avoir le niveau de vie allemand”.

L’Eglise n’est pas en reste. L’évêque de la ville Szeged, déclarait au Washington Post, “Ce ne sont pas des réfugiés, c’est une invasion. Le Pape ne connaît pas la situation. Ils viennent ici en criant “Allah Akbar”.
 La plupart se comportent de façon cynique et arrogante. Ils représentent une grave menace pour les valeurs chrétiennes et universelles de l’Europe”.
En Italie et en Grèce, c
c’est le même scénario. On ne compte plus les actes de vandalisme, les saccages et agressions de la part de migrants insatisfaits des conditions d’accueil. Mais on ne parle que des violences anti immigrés…
Voilà donc ce qui attend les maires des 600 villes françaises qui se portent volontaires pour l’accueil des populations en détresse. Mais en sont-ils conscients ?
 Au risque de passer pour un immonde salaud, je leur souhaite bien du plaisir…. Emotion et compassion, sans avoir évalué les risques de la situation, vont mener à de grandes désillusions quand la pression migratoire va s’accentuer, ce qui est inéluctable avec la politique des quotas permanents et obligatoires voulue par Bruxelles. Un doublement de l’immigration actuelle, c’est au bas mot 4 à 500000 arrivées par an, n’en déplaise à l’INSEE avec ses chiffres bidouillés systématiquement à la baisse. Une véritable catastrophe économique et sociale.

Cette politique suicidaire de l’Europe, va aggraver la pauvreté, l’insécurité, la fracture identitaire et le risque terroriste déjà maximal en France. Des salafistes allemands recrutent déjà parmi les réfugiés, préviennent les services de renseignement allemands. Selon une étude de la fondation Konrad Adenauer, 7000 salafistes séviraient en Allemagne.
Mais à ceux qui s’inquiètent du risque d’islamisation du pays, la Chancelière a déjà répondu : “Les sociétés gouvernées par la peur ne parviennent pas à résister”.
On a envie de lui répondre que celles gouvernées par l’inconscience et la négation des réalités, ne résistent pas non plus !
Car c’est bien en toute inconscience des risque encourus, qu’Angela Merkel a balancé une véritable grenade dégoupillée dans toute l’Europe. Hallucinant !
Pour l’heure, on préfère diaboliser Viktor Orban, le Premier ministre hongrois, le seul à se poser sans états d’âme en protecteur de l’identité chrétienne de l’Europe. Mais le mur qu’il construit n’est pas plus “le mur de la honte” que celui que nous avons édifié à Calais. Non seulement nos critiques ne font que renforcer le nationalisme hongrois, mais l’avenir donnera entièrement raison à Viktor Orban, quand nos élites inconscientes réaliseront, mais un peu tard, qu’elles ont totalement perdu le contrôle de la situation.

Jacques Guillemain  Riposte Laïque

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