lundi 23 février 2015

Les « antifas », groupuscules de nervis et de casseurs, un danger pour la République


Les Toulousains et les Nantais n’en peuvent plus d’être les victimes de ces terroristes, ils n’en peuvent plus d’être laissés à l’abandon par des pouvoirs publics qui n’agissent pas en raison de leur proximité politique avec les casseurs.

Les groupes dits « antifas », tristement célèbres hooligans et constants supplétifs du chaos contemporain, s’illustrent régulièrement par leur violence depuis de nombreuses années. 

Ils jouissent pourtant d’une totale impunité politico-médiatique. Chouchous de la gauche sociétaliste, ils ont presque été donnés en exemple à la jeunesse de France dans les années 80-90 et bénéficient indirectement des subsides de ce même État qu’ils conspuent dans leurs publications (par le jeu des subventions aux associations dites d’intérêt public).

Après les émeutes de novembre dernier (qui ont entraîné des dégâts matériels conséquents, et un traumatisme des populations toulousaine et nantaise), les groupes « antifas » se sont illustrés par la participation d’un de leurs sympathisants à la profanation du cimetière juif de Sarre-Union en Alsace, CONFIRMANThttp://cdncache-a.akamaihd.net/items/it/img/arrow-10x10.png de ce fait la réputation de marginaux ultra-violents associée à ces activistes. 

Une fois de plus, le Front national, ennemi à abattre pour Manuel Valls, Alain Juppé et les susnommés “antifas”, n’y était strictement pour rien (ni même un membre ou sympathisant direct ou indirect du mouvement) et fut accusé à tort par l’irresponsable député alsacien Philippe Bies et le machiavélique secrétaire général du Parti socialiste Jean-Christophe Cambadélis.

La journée du samedi 21 février fut pour eux une autre occasion de casser et d’exprimer leur haine. Toulouse et Nantes ont été les théâtres de guérillas urbaines opposant les forces de police à quelques centaines de nervis « zadistes » issus des rangs « antifas » ou de partis ayant pignon sur rue comme le NOUVEAU parti anticapitaliste dirigé par le très fréquentable (pour les médias) Olivier Besancenot.
Lui n’a pas été accusé par le Premier ministre de ne pas aimer la France ou d’être « en dehors du pacte républicain ». Cherchez l’erreur !
Les associations menées par les fous furieux de l’extrême gauche la plus radicale, défilant sous des banderoles injurieuses affichant des slogans tels que « Tout le monde déteste la police » ou « Flics assassins », n’ont jamais été menacées de dissolution ! 

Ces gens n’ont pourtant pas cessé de nuire depuis les terroristes d’Action DIRECTEhttp://cdncache-a.akamaihd.net/items/it/img/arrow-10x10.png, en passant par la tuerie perpétrée par Audrey Maupin et Florence Rey ou l’attaque contre des journalistes par Abdelhakim Dekhar. Qu’ont fait, pendant cette même période, les militants patriotes ? Ont-ils été responsables d’émeutes, de meurtres, ou même de tags et banderoles injurieuses et appelant quasiment au meurtre ? Non.

Les Toulousains et les Nantais n’en peuvent plus d’être les victimes de ces terroristes, ils n’en peuvent plus d’être laissés à l’abandon par des pouvoirs publics qui n’agissent pas en raison de leur proximité politique avec les casseurs. Le pouvoir socialiste doit se regarder en face : s’il « aime la France » comme il le prétend, il n’aura aucun mal à sévir fermement et à protéger les Français.

Source : Bld Voltaire

NDLR : Pareil à Calais 

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