Les « antifas », groupuscules de nervis et de casseurs, un danger
pour la République
Les Toulousains
et les Nantais n’en peuvent plus d’être les victimes de ces terroristes, ils
n’en peuvent plus d’être laissés à l’abandon par des pouvoirs publics qui n’agissent
pas en raison de leur proximité politique avec les casseurs.
Les groupes dits « antifas », tristement célèbres
hooligans et constants supplétifs du chaos contemporain, s’illustrent
régulièrement par leur violence depuis de nombreuses années.
Ils jouissent
pourtant d’une totale impunité politico-médiatique. Chouchous de la gauche
sociétaliste, ils ont presque été donnés en exemple à la jeunesse de France
dans les années 80-90 et bénéficient indirectement des subsides de ce même État
qu’ils conspuent dans leurs publications (par le jeu des subventions aux
associations dites d’intérêt public).
Après les émeutes de novembre dernier (qui ont entraîné des dégâts
matériels conséquents, et un traumatisme des populations toulousaine et
nantaise), les groupes « antifas » se sont illustrés par la
participation d’un de leurs sympathisants à la profanation du cimetière juif de
Sarre-Union en Alsace, CONFIRMANT
de ce fait la réputation de marginaux
ultra-violents associée à ces activistes.

Une fois de plus, le Front national,
ennemi à abattre pour Manuel Valls, Alain Juppé et les susnommés “antifas”, n’y
était strictement pour rien (ni même un membre ou sympathisant direct ou
indirect du mouvement) et fut accusé à tort par l’irresponsable député alsacien
Philippe Bies et le machiavélique secrétaire général du Parti socialiste
Jean-Christophe Cambadélis.
La journée du samedi 21 février fut pour eux une autre occasion de
casser et d’exprimer leur haine. Toulouse et Nantes ont été les théâtres de
guérillas urbaines opposant les forces de police à quelques centaines de nervis
« zadistes » issus des rangs « antifas » ou de partis ayant
pignon sur rue comme le NOUVEAU parti anticapitaliste dirigé par le très
fréquentable (pour les médias) Olivier Besancenot.
Lui n’a pas été accusé par
le Premier ministre de ne pas aimer la France ou d’être « en dehors du
pacte républicain ». Cherchez l’erreur !
Les associations menées par les fous furieux de l’extrême gauche
la plus radicale, défilant sous des banderoles injurieuses affichant des
slogans tels que « Tout le monde déteste la police » ou « Flics
assassins », n’ont jamais été menacées de dissolution !
Ces gens
n’ont pourtant pas cessé de nuire depuis les terroristes d’Action DIRECTE
, en passant
par la tuerie perpétrée par Audrey Maupin et Florence Rey ou l’attaque contre
des journalistes par Abdelhakim Dekhar. Qu’ont fait, pendant cette même
période, les militants patriotes ? Ont-ils été responsables d’émeutes, de
meurtres, ou même de tags et banderoles injurieuses et appelant quasiment au
meurtre ? Non.

Les Toulousains et les Nantais n’en peuvent plus d’être les
victimes de ces terroristes, ils n’en peuvent plus d’être laissés à l’abandon
par des pouvoirs publics qui n’agissent pas en raison de leur proximité
politique avec les casseurs. Le pouvoir socialiste doit se regarder en
face : s’il « aime la France » comme il le prétend, il n’aura
aucun mal à sévir fermement et à protéger les Français.
Source : Bld Voltaire
NDLR : Pareil à Calais
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