Deux nouvelles pratiquement passées inaperçues de la grande presse, et bien entendu des moyens radio-télévisés, m'ont particulièrement choqué, cette semaine.
La première. Nous sommes en Haute-Savoie, dans le bourg de Publier. Il y a cinq ans, la municipalité avait choisi de décorer un parc public d’une élégante statue de la Vierge pour un coût assez élevé de 35.000 euros. Eh bien, à la demande d’adeptes forcenés de la laïcité, le tribunal administratif de Grenoble vient d’exiger du maire


Quant à la seconde, elle est tout à fait inverse, et se rattache
directement
à notre bien-aimé président de la République, islamophile forcené.

Il s’agit de la construction d’une mosquée dans sa bonne ville de Tulle.
Pas
une anodine salle de prière, donc, mais une belle mosquée avec son minaret de
13,96 m et une superficie totale de 1.223 m² qui sera bâtie sur un ancien
terrain industriel, celui des Établissements Cornil.
La mairie estime qu’il y a entre 100 et
200 musulmans pratiquants à Tulle.
À la prière du vendredi, ils risquent donc
d’être très à l’aise. Mais l’islam, comme partout en France, doit se faire
désormais visible, et sans complexe, puisqu’il est la deuxième religion de
France et que les derniers chiffres non officiels situeraient le nombre de ses
fidèles entre 6 et 10 millions.
Alors le maire
de Tulle, le vieux copain de
François Hollande, a décidé de frapper fort. Le mois prochain, il obtiendra de
son conseil municipal le droit de délivrer un permis de construire à cette
mosquée qui, sous couvert d’être un immeuble culturel et pas seulement cultuel,
sera en partie financé par les deniers publics. Comme la Vierge de Publier.

Mais à la différence près que l’on construit une mosquée sur un terrain qui
dominera la ville, et que l’on démolit, car trop visible, une belle statue de
la Vierge Marie.
On l’a écrit ici deux cent fois, mais je le répète : abattons les
croix de nos calvaires qui polluent nos campagnes, cassons toutes les statues
de Jésus, de la Vierge, de saint Joseph et autres saints.
Mettons au pilon nos
calendriers dont il faut ne garder que le prénom, comme le font déjà d’ailleurs
avec dhimmitude les bulletins météo de nos chaînes télé, allons au Puy-en-Velay
abattre la statue géante de la Vierge fondue avec les 150.000 kilos de fonte
des canons de Sébastopol et qui domine la ville du haut de ses 22 mètres, et par
la même occasion, détruisons la statue monumentale de saint Joseph qui trône,
elle aussi de ses 22 mètres, sur la ville voisine d’Espaly.
Et puis, pendant que nous y sommes, lançons un grand plan de démolition de
nos églises et cathédrales, emblèmes par trop voyants d’une religion dont
certains hommes politiques de gauche, tel ce charmant M. Le Guen, disent
qu’elle est aussi dangereuse que le djihadisme…
Floris de Bonneville via Bld Voltaire
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