LES FRERES MUSULMANS
N' ATTENDENT QUE CA.
Éviter la guerre entre la République et les musulmans de France est un bon objectif ; montrer de la faiblesse devant les islamistes serait une faute dramatique.
N' ATTENDENT QUE CA.
Éviter la guerre entre la République et les musulmans de France est un bon objectif ; montrer de la faiblesse devant les islamistes serait une faute dramatique.
Le gouvernement veut changer la loi de 1905
pour promouvoir, dit-il, les modérés. Ce terme
recouvre, hélas, des agents qui pratiquent la
taqiya, ou dissimulation : ils semblent
s’occidentaliser jusqu’à ce que les circonstances
leur permettent de révéler leur vraie nature. Or,
Céline Pina, fondatrice de l’association laïque
Viv(r)e la République, a démontré qu’en prévoyant
une taxe halal et en n’instituant pas un contrôle
efficace des flux financiers, cette réforme ouvrira
un boulevard à Musulmans de France, nouveau nom de
l’UOIF, la section française de l’Internationale des
Frères musulmans.
Cette organisation a la main mise sur
les mosquées les plus influentes et les prédicateurs
les plus virulents, sans que le ministère de
l’Intérieur soit capable d’en préciser le nombre.
Le terrorisme de Daech focalise l’attention,
mais il existe d’autres crimes islamistes (les
attaques terroristes islamistes qui ne sont pas le
fait de Daech, mais aussi les crimes de droit commun
viols, agressions sexuelles, égorgement produits par
l’idéologie islamiste des criminels), et
l’islamisation de l’Europe prend d’autres formes.
Or, dans la propagation de cette idéologie, on
retrouve partout les Frères musulmans.
Une note des services établit les progrès du
communautarisme à l’école. Des petits garçons
refusent de donner la mains aux filles, encouragés
par leurs mères qui, à Lille, distribuent des tracts
pour refuser l’école mixte au nom du Coran.
Dès le
CM1, des enfants observent le ramadan, et les
musulmans qui ne mangent pas halal sont insultés par
les pratiquants. Au-delà des prescriptions sur les
aliments et les femmes, l’islamisation prend des
formes surprenantes : dans un établissement du Nord,
des élèves ont refusé de suivre un cours dans une
salle dont le mobilier était rouge, couleur impure,
haram.
Le livre Inch’Allah montre que
l’islamisation du 93 est pilotée par des théologiens
musulmans, notamment des IESH (Instituts européens
de sciences humaines), répandus en France et en
Europe. Ahmed Jaballah, patron des IESH de
Château-Chinon et Paris, ancien président de l’UOIF,
vient d’être élu, à Istanbul, vice-président du
Conseil européen pour la fatwa et les recherches
(CEFR), association fondamentaliste dont le siège
est à Dublin. Son patron, le Qatari d’origine
égyptienne Youssef al-Qaradâwî, radical devenu trop
voyant, a pris sa retraite, mais son successeur,
Abdulah Al Judai, dirige l’IESH du pays de Galles,
et la grande mosquée de Cardiff prêche ouvertement
le djihad contre juifs et chrétiens. Cerise sur le
gâteau, toujours selon Inch’Allah, l’IESH
a servi de boîte aux lettres à Inès Madani,
principale accusée de l’attentat manqué à la
bonbonne de gaz contre Notre-Dame de Paris.
Si les Frères
musulmans sont interdits par l’Égypte, l’Arabie
saoudite, les Émirats arabes unis et Bahreïn.
Ils entretiennent des liens étroits avec la Turquie d’Erdoğan et le Qatar.
Le Qatar se présente, en France, en investisseur aimable, il possède le PSG, va faire des expositions à la Concorde, mais il finance des IESH, comme le montrent plusieurs sources citées par Wikipédia, et il a tenté de s’immiscer dans la politique dite des banlieues.
Ils entretiennent des liens étroits avec la Turquie d’Erdoğan et le Qatar.
Le Qatar se présente, en France, en investisseur aimable, il possède le PSG, va faire des expositions à la Concorde, mais il finance des IESH, comme le montrent plusieurs sources citées par Wikipédia, et il a tenté de s’immiscer dans la politique dite des banlieues.
Sans grand succès apparent pour l’instant, mais les
politiciens attirés par l’argent qatari sauront-ils
rester vigilants ?
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