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Insupportable, insoutenable, inacceptable, intolérable !
Eh bien, peu importe l’adjectif employé : nos gouvernants européens s’en
moquent.
Tout est fait pour que les participants à la vague migratoire soient
traités le mieux possible.
Peu importe les conséquences
Il faut, au nom de la
charité et peut-être même au nom de la cha… ria, accueillir ces centaines de
milliers de migrants.
Et bien les accueillir. Certains sont même logés dans des
hôtels.
Comme cet hôtel 4 étoiles (sur TripAdvisor) dans le centre de Bolzano
en Italie, à proximité de la cathédrale du Duomo.
Ne comptez pas y faire une réservation.
Les 31 chambres de
l’hôtel Alpi sont toutes occupées par des clandestins, aux frais de la
municipalité.
Le 1er février, au pied de l’hôtel, couché sur un lit
de cartons, des passants ont découvert un corps sans vie.
Celui d’un SDF mort
de froid.
Un autre SDF avait été retrouvé, lui assassiné, non loin de là,
quelques jours auparavant. Poignardé – je vous le donne en mille – par un
migrant toujours recherché par la police.
Mais ceci n’est pas grave, puisque la
bienséance actuelle veut que l’homme arrivé en toute illégalité dans l’espace
Schengen ait désormais tous les droits.
À Paris, le 21 janvier, au cœur de la capitale, c’est Michal,
un Tchèque de 66 ans, qui a été retrouvé mort de froid.
Il avait fait une
demande un mois auparavant auprès du Service intégré de l’accueil et de
l’orientation (SIAO).
Pour lui, cette nuit-là, il n’y avait plus de place ni
dans le métro ni dans les centres d’hébergement nocturne.
En 2015, quatre cent
quarante-huit SDF sont morts sur un trottoir français !
Un chiffre macabre
relevé par le collectif « Les morts de la rue », qui annonce que 21
sans-abri sont morts dans les rues de Paris en janvier 2016.
Et pendant ce temps-là, la mairie de Paris a logé des
dizaines de migrants dans de beaux logements du XVIe arrondissement
et s’apprête à en accueillir 200 en bordure du bois de Boulogne, dans des
bâtiments en construction.
Le Monde du 16 septembre dernier annonçait avoir pris
connaissance d’une proposition globale incluant vingt mille places de logement
vacantes utilisables sous six mois. ADOMA, ex-SONACOTRA, qui gère douze mille
places d’accueil des demandeurs d’asile, a, à la demande de l’État, recensé les
ressources disponibles et découvert ce gisement dans des immeubles lui appartenant.
Il faudra simplement les rénover pour un coût de 20 à 40 millions.
Et, sans
rire, Le Monde conclut que c’est nettement moins cher que les 400
millions que l’État (mais l’État, ça ne coûte rien, hein, M. le Président
Hollande ?) débourse chaque année pour loger les sans-papier dans des
hôtels !
Quand je vous disais que l’issue du match migrants contre SDF
ne fait aucun doute, c’est le résultat d’une politique insensée de nos
gouvernants
Les ONG, bénévoles et autres organismes de charité qui essayent de secourir nos SDF de plus en plus nombreux n’arriveront jamais, à eux seuls, à leur éviter une mort toujours possible dans nos rues.
Les chiffres de la fondation de l’Abbé-Pierre sont terribles.
Le nombre de SDF a doublé en France en 10 ans, où 3,5 millions de personnes sont mal logés ou sans abri !
Il y aurait actuellement dans la rue… 141.500 adultes et enfants. 1,8 million de ménages sont en attente d’un logement social que les gouvernements de gauche comme de droite promettent de construire à chaque élection.
Alors bienvenue aux 25.000 migrants officiels que la France a accepté d’accueillir. On va leur trouver un logement, un travail, un salaire, de belles allocations. Vive la clandestinité !
Source : boulevard voltaire
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