Cologne : une rétrospective des événements qui
fait froid dans le dos
Bienvenue dans
l’Europe néo-tribale de 2016.
Pour ne parler que de « l’affaire » de
Cologne, mais au moment où nous avons appris ce lundi la tentative d’assassinat
d’un enseignant juif à Marseille par un jeune Turc, le moins que l’on puisse
dire est que les fruits multiculturels tombent par poignées et grappes mûres
des arbres plantés par les « élites » européennes au fil des
décennies.
Le ministre de la Justice allemand Heiko Maas a beau déclarer que
ces agressions massives étaient, selon lui, organisées et préméditées, la seule
chose qui nous paraît, pour l’heure, organisée et préméditée est l’arrivée
massive de migrants suivie d’agressions d’une ampleur inédite contre des femmes
en Europe.
Toutefois, le propos est moins, ici, de commenter que d’offrir un
déroulé chronologique, à partir de médias non français (De Telegraaf [DT]
et 24heures.ch) à titre de complément d’information. Extraits entre le 7
et le 12 janvier.
« La police de Cologne impuissante. Avant même
l’arrivée de la police, la situation était déjà hors de contrôle. En chemin,
nous avons pris connaissance de témoignages de parents en pleurs et d’enfants
en état de choc. Le nombre de plaintes s’élève à 129 » (DT,
7 janvier). « Dans la ville frontalière de Weil am Rhein, deux filles
mineures ont été violées par quatre demandeurs d’asile syriens, selon une
déclaration de la police au journal De Telegraaf.
L’un des demandeurs
d’asile, âgé de 14 ans, Ahmad O., réside aux Pays-Bas. Les autres agresseurs,
âgés de 14, 15 et 21 ans, sont enregistrés en Allemagne » (DT,
7 janvier).
« Une grande partie des auteurs des agressions de Cologne
était des demandeurs d’asile et présents en Allemagne depuis peu, selon des
témoignages anonymes d’agents de police au journal Welt am Sonntag » (DT,
7 janvier). « Des femmes ont également été agressées à Zurich par des
hommes de type basané.
À Hambourg, 70 plaintes ont été déposées » (DT,
7 janvier).
« Un Néerlandais (Kees van Amstel) présent à
Düsseldorf témoigne (vidéo) : chaque femme fut importunée par des
allochtones » (DT, 8 janvier). « Parmi les 31
personnes identifiées avec certitude à Cologne figurent 18 demandeurs
d’asile » (DT, 8 janvier). « Des traductions de mots ou
phrases arabes en allemand ont été trouvées sur deux agresseurs arrêtés à
Cologne. Y figuraient notamment des termes comme “belles poitrines”, “je te
tue”, “je veux avoir du sexe avec toi” » (DT, 8 janvier).
« Le nombre de dépôts de plainte à Cologne se
monte à 516. La police de Cologne a procédé à Gütersloh, près de Bielefeld, à
l’arrestation d’un Marocain de 19 ans en possession d’un téléphone volé le jour
de l’An. L’homme avait déjà été arrêté à plusieurs reprises pour divers délits
depuis 2013 » (DT, 10 janvier).
La police a avoué
avoir tu ces événements. “Parfois, nous n’osons avouer la gravité de la
situation de peur d’alimenter les discours du parti d’extrême droite (Les
Démocrates de Suède)”, a déclaré le chef de la police Peter Ågren.
Le Premier
ministre Löfven est fou de rage.
La police a, selon lui, failli et devrait
amener les coupables devant la justice plutôt que de masquer ainsi les
faits » (DT, 11 janvier).
« La Suisse alémanique est, elle aussi,
rattrapée par la question des violences faites aux femmes.
“Tout d’un coup,
nous avons constaté que nous étions entourés d’une vingtaine d’hommes qui ont
commencé à nous toucher par-dessus les vêtements, sur nos parties intimes”,
racontait à 20 Minuten une jeune femme, qui ne s’est pas
adressée aux autorités.
Selon les témoignages récoltés par la police, il
s’agirait d’hommes à la couleur de peau foncée » (24h.ch, 12
janvier).
Selon le rapport du ministère de l’Intérieur de
Rhénanie-du-Nord-Westphalie, « la police souligne la similitude avec un
modus operandi connu dans les pays arabes comme “taharrush gamea”, le
harcèlement sexuel des femmes dans les foules » (Le Figaro, 12
janvier).
« Des agressions similaires à celles de Cologne, en
Allemagne, ont eu lieu en Autriche.
La police est accusée d’avoir voulu taire
les événements » (Le Figaro, 12 janvier).
Silvio Molenaar Via Bld Voltaire
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