La
propagande culpabilisatrice nous le dit matin, midi et soir :
Ces
hommes traumatisés fuient la guerre, et ont été confrontés à des scènes
abominables.
Et cela est naturellement notre devoir de les accueillir, et de
leur ouvrir les bras.
Il n’en reste pas moins
que, si nos journalistes et politicards étaient un peu plus curieux, ils
auraient pu s’interroger sur ce phénomène unique au monde.
En général, en cas de
guerre, ce sont les hommes, les plus jeunes, qui défendent le pays et sa
population.
Ce sont eux qu’on envoie se battre contre les ennemis. On se
rappelle de ce texte reprochant à un jeune réfugié
syrien âgé de 20 ans de ne pas se battre, à son âge, pour son pays.
Car si la version
politico-médiatique qu’on nous sert est exacte, ces jeunes garçons sont non
seulement des couards, mais les pires salopards.
En effet, comment qualifier
autrement un homme en âge de se battre qui, au lieu de protéger les plus
faibles, ne pense qu’à lui, et sauve sa peau, en abandonnant femmes, enfants et
vieillards aux terribles agresseurs (qu’on ne qualifie jamais) à cause de qui
ils ont fui.
Il suffit de regarder les
photos et vidéos de ces hordes de clandestins qui arrivent à Lampedusa et par
la Grèce, et se répandent dans toute l’Europe, pour constater ce fait, qui
inquiétait d’ailleurs, à juste titre, Alice Braitberg : ce ne sont que des
hommes, jeunes et vigoureux, et par ailleurs particulièrement revendicatifs et
belliqueux..!!!!!!
Regardez, lors de l’exode, en France, si les hommes abandonnaient femmes, enfants et vieillards…
Et regardez encore cette image de réfugiés belges, à la gare de Calais, en 1914…
Bref, en général, quand
on fuit une guerre, comme le montrent ces images, les hommes jeunes et mûrs
essaient de sauver femmes, enfants et vieillards, et restent à leurs côtés.
Sauf nos malheureux
migrants, qui, eux, les abandonnent.
Conclusion : soit nous
allons accueillir les pires salauds, soit on nous prend pour des cons…
Peut-être les deux à la fois
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