À force de côtoyer des folles, Marine Le Pen
aurait-elle fini par être « contaminée » par leurs réactions hystériques et incontrôlées ? C’est ce que laisse penser sa colère lors d’une
réunion du bureau politique récemment, très loin des compte-rendus officiels du
parti selon lesquels tout s’était bien passé.
« Maintenant, ça suffit ! Bruno, tu vois,
là, il y a deux portes, celle des toilettes et celle de la sortie. Si tu n’es
pas content, tu peux t’en aller ! »
a-t-elle
éructé en pleine réunion, écumant de rage, à l’adresse de Bruno Gollnisch.
Celui-ci avait osé élever d’aussi vagues que vaines protestations contre
l’ouverture du néo-FN au lobby homosexualiste.
Comme à son habitude, il n’a pas
réagi à la violente attaque de son ancienne concurrente à l’élection truquée
pour la présidence du Front national.
Pas plus qu’aucun autre membre du bureau politique, y
compris ceux qui s’inquiétaient de la venue en quelques jours de déviants
sexuels militants radicaux et de mannequins pour revue cryptopornographique
pour invertis.
Depuis, avoir appris que l’amant
supposé de Florian Philippot était lui
aussi un activiste homosexualiste laudateur des FEMEN les a sans doute beaucoup
rassurés.
Suffisamment pour qu’ils continuent tous ensemble à cohabiter dans
une auberge espagnole qui prend chaque jour plus les allures d’une backroom du
Marais.
Aucun n’a réagi non plus pour simplement s’étonner
qu’une personne prétendant aux plus hautes fonctions de la République
apparaisse aussi peu sûre de soi et excitée qu’un autre prétendant sous
cocaïne.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire