dimanche 4 janvier 2015

HOMOSEXUALISATRION DU FN :


À force de côtoyer des folles, Marine Le Pen aurait-elle fini par être « contaminée » par leurs réactions hystériques et incontrôlées ? C’est ce que laisse penser sa colère lors d’une réunion du bureau politique récemment, très loin des compte-rendus officiels du parti selon lesquels tout s’était bien passé.
« Maintenant, ça suffit ! Bruno, tu vois, là, il y a deux portes, celle des toilettes et celle de la sortie. Si tu n’es pas content, tu peux t’en aller ! »
 a-t-elle éructé en pleine réunion, écumant de rage, à l’adresse de Bruno Gollnisch. 
Celui-ci avait osé élever d’aussi vagues que vaines protestations contre l’ouverture du néo-FN au lobby homosexualiste. 
Comme à son habitude, il n’a pas réagi à la violente attaque de son ancienne concurrente à l’élection truquée pour la présidence du Front national.
Pas plus qu’aucun autre membre du bureau politique, y compris ceux qui s’inquiétaient de la venue en quelques jours de déviants sexuels militants radicaux et de mannequins pour revue cryptopornographique pour invertis. 
Depuis, avoir appris que l’amant supposé de Florian Philippot était lui aussi un activiste homosexualiste laudateur des FEMEN les a sans doute beaucoup rassurés. 
Suffisamment pour qu’ils continuent tous ensemble à cohabiter dans une auberge espagnole qui prend chaque jour plus les allures d’une backroom du Marais.

Aucun n’a réagi non plus pour simplement s’étonner qu’une personne prétendant aux plus hautes fonctions de la République apparaisse aussi peu sûre de soi et excitée qu’un autre prétendant sous cocaïne.

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