Des Syriens responsables et
coupables de la mort du petit Aylan
Ces
jours-ci, deux informations relatives aux invasions migratoires, ne changeant
pas spécialement la donne en tant que telles, mais parfaitement tues (sauf
omission) dans les médias français et méritant, à ce titre, d’être soulignées.
Débarquant de Mars, et prenant connaissance des derniers développements de
l’actualité, j’ai bêtement cru que la mort du petit Aylan aux portes du paradis
européen n’était due qu’à l’écœurante indifférence des gouvernants et habitants
de ce dernier, et que la honte les accompagnerait, ainsi que leurs descendants,
jusqu’à la fin des temps…
Et
voilà qu’on apprend que la justice turque a expédié manu militari le procès des
deux trafiquants syriens à l’origine du drame (notez bien leurs noms :
Muwafaka Alabash et Asem Alfrhad) et les a envoyés derrière les barreaux pour
une durée de quatre ans.
À noter qu’au passage, les co-accusés ont désigné le
père d’Aylan comme organisateur de la traversée.
Curieux, en effet, que sa
femme et son gosse n’aient, contrairement à lui-même, disposé de gilet de
sauvetage…
Stupéfaction dans le camp psychopathe auto-flagellateur : des
Syriens responsables et coupables de la mort du petit Aylan !
Voilà une
info qui mérite d’être soigneusement… tue.
En effet, dans tué, il y a tue. (Algemeen
Dagblad, 4 mars)
La
seconde information constitue un cas intéressant de censure par omission
concernant directement la France, ou du moins ce qui se passe dans sa
« jungle » calaisienne.
Le comportement d’un certain nombre
d’envahisseurs migrants dans les rues de Calais ou dans son environnement
portuaire ressemble parfois, d’ailleurs, au défilé des vainqueurs, tant leur
apparente arrogance se double d’une quasi-impunité que leur assurent police et
autorités, à en croire les vidéos non officielles disponibles sur la Toile.
Selon
des propos relayés par la presse néerlandaise, des bénévoles du camp de Calais
ont déclaré au journal britannique The Independent avoir observé un
certain nombre de cas de viols de jeunes garçons ces six derniers mois, aussi
bien à Calais que dans le reste de l’Europe d‘ailleurs.
Vous me direz, enfin,
je veux dire les antiracistes diront fort à propos que, dans toutes les
« cultures », on pratique le viol des petits garçons, y compris celui
couvert parfois par le cardinal du coin…
Certes, certes, mais ce qui nous
intrigue, c’est moins ces viols que le silence médiatique qui, comme par
enchantement, les entoure…
Les
victimes, âgées entre 14 et 16 ans, présentaient des blessures en lien avec les
faits, mais sur les sept cas connus, seul un garçon a pu être examiné à
l’hôpital, les autres craignant des réprésailles ou par sentiment de honte.
Par
ailleurs, selon Algemeen Dagblad, citant The Independent,
l’organisation Save the Children
Constate également des cas de
maltraitance concernant de jeunes garçons aussi bien à Calais que dans le reste
de l’Europe.
« Les organisations constatent un nombre croissant de
types de maltraitance, parmi lesquelles le viol, essentiellement du fait de
bandes criminelles »,
Déclare un correspondant au journal britannique.
de Volkskrant relate également que « les bénévoles œuvrant à
Calais ne semblent avoir aucune confiance dans la police française, qui semble
s’en laver les mains », selon un témoignage anonyme.
Nous
n’irons pas aussi loin, sachant que la police obéit aux ordres du politique…
L’Europe paradis, donc, mais exclusivement pour passeurs, mafias et
trafiquants, semble-t-il.
Source : Bld
Voltaire
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